Le petit Mrozek illustré de Slawomir Mrozek
12,20 CHF
Date de parution : 04.2005
Auteur(s) secondaire(s) : Chaval, André Kozimor, Erhard Grazyna, Chaval
Format : Grand Format
Nombre de pages : 177
Résumé : Comment se faire adopter par la reine d'Angleterre, vendre son âme au diable au meilleur prix, ou solliciter un prix Nobel ? Mrozek a réponse à tout. De A comme Angoisse à Z comme Zèle, en passant par Démocratie et Révolution, son abécédaire ne néglige aucun sujet important et constitue un vrai manuel de survie à l'usage de l'homme contemporain. Plus ses idées sont loufoques, plus elles font mouche. Et plus notre plaisir de lecture est grand. " Il est des cyniques qui, tout de suite, voient clair, c'est-à-dire noir. S'il ricane, s'il raille, s'il fait rire, c'est toujours pour nous acculer à regarder en face, sans échappatoire possible, ces pantins ridicules qui s'agitent sur la terre, empêtrés dans le grotesque de leur condition ; tout un monde dont ils sont autant les victimes que les complices, et qui ne tient que parce qu'il est absurde. " Marion Van Renterghem, Le Monde.
Auteur(s) secondaire(s) : Chaval, André Kozimor, Erhard Grazyna, Chaval
Format : Grand Format
Nombre de pages : 177
Résumé : Comment se faire adopter par la reine d'Angleterre, vendre son âme au diable au meilleur prix, ou solliciter un prix Nobel ? Mrozek a réponse à tout. De A comme Angoisse à Z comme Zèle, en passant par Démocratie et Révolution, son abécédaire ne néglige aucun sujet important et constitue un vrai manuel de survie à l'usage de l'homme contemporain. Plus ses idées sont loufoques, plus elles font mouche. Et plus notre plaisir de lecture est grand. " Il est des cyniques qui, tout de suite, voient clair, c'est-à-dire noir. S'il ricane, s'il raille, s'il fait rire, c'est toujours pour nous acculer à regarder en face, sans échappatoire possible, ces pantins ridicules qui s'agitent sur la terre, empêtrés dans le grotesque de leur condition ; tout un monde dont ils sont autant les victimes que les complices, et qui ne tient que parce qu'il est absurde. " Marion Van Renterghem, Le Monde.